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Commentaires

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pagesapages

Je note Grotzanovitch que je n'ai jamais lu.

(et en douce : j'ai regardé hier (seulement hier) D@ans le texte. Qu'est-ce que c'était bien ! Que du bon :-) )

Anne B

Denis Grozdanovitch, ou comment fuir la tristesse stérile, se faufiler entre les mailles et les filets du désespoir, s'activer dans la contemplation et la désinvolture. Lire le bonheur, un bonheur de lire, lire Grozdanovitch c'est un plaisir.
"C'est profiter de la caresse furtive de l'éternité."

geneviève

Gozdanovitch, c'est à lire avec parcimonie et délectation. Ce sont ces petites lectures qui vous laissent en plan au milieu des gens pressés qui vous perdent dans toutes un monde d'infimes bonheurs qu'on n'avait jamais vus avant. C'est cette force délicieuse de la vraie littérature celle qui parle de la vie pas seulement des hommes et de leurs petites ambitions. A lire sans modérations, car c'est aussi tout plein d'humour ces petites choses-là!
Franchement mr Ferney, c'est bien ce que vous écrivez; Depuis que je lis votre blog j'ai découvert plein de choses et surtout, ce avec quoi je terrorise mon entourage et mes proches: la reine des lectrices de Alan Bennett, c'est vraiment génial et trop anglais pour ne pas être drôle!
Toutes mes amitiés littéraires sincères.

ororea

J'adorerais vous voir jouer au tennis...
"Il faut apprendre à fermer les yeux et à ouvrir grand ses narines pour jouir de l'instant"
C'est quoi votre parfum pour homme préféré?
Je vous ai fait un petit poème pour fêter votre retour :

Les poings fermés
Tu affirmes tes idées
Tes mains dansent dans l'air
Comme deux oiseaux solaires
Tes mains sont velues
ô combien elles ont lu
Elles ne sont que geste précis
et chorégraphie et si
tu y vois des mains de charcutier
moi j'y vois celles d'un luthier
ô combien sensuelles
qui dessinent une musique visuelle.

Critiquator

"La poésie est l'amour inachevé du désir demeuré désir ." René Char

Christophe Borhen

Le "se fauflier entre [...] les filets du désespoir" de Anne B. est délectable, surtout, n'est-ce pas, si l'on ne perd pas de vue le concept (et la réalité) du tennis.

En outre, je ne connaissais pas du tout ce Grozdanovitch (son nom, ça fait vraiment sportif ou militaire) ; aussi, merci pour ce bon d'entrée.

Ah oui, encore ceci : votre blog, FF, quand il monte au filet, (me) rend bien service. Jamais tordus, ses coups sont toujours droits, les revers (de lecture) y sont très rares, et ainsi de suite...

gmc

PAUME D'HAPPY

Tout est dans le presque
Frôler c'est passer
Totalement à côté
Rester dans le plomb
Avec des semelles lestées
Sous leur apparence légère
Comme l'idée d'un amorti
Qui se transforme malicieusement
En auto-lob pour pingouin
Qui flâne sans boussole

oursivi

"un pied dans l'au-delà"
FF

Mais il n'ira pas au-delà.
L'autre s'est égaré ici.

AO


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Frédéric Ferney

  • Agrégé d'anglais, il a d'abord enseigné à Rome, avant de diriger les pages culturelles du Nouvel Observateur. Par la suite, il a créé et animé une émission littéraire le dimanche sur France 5, intitulée d'abord Droits d'auteur, puis rebaptisée Le Bateau livre, à bord de la péniche L’escale. Il est actuellement critique au Point.

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