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Commentaires

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ororea

Rappel :
Précaution inutile , Edition présentée par Frédéric Ferney
Marcel Proust
Roman (broché).
Editeur : Le Castor Astral
Collection : Les Inattendus
Parution : 20/11/2008
Nombre de pages : 173
Dimensions : 19.00 x 12.00 x 1.60

fsns

Le temps nous est compté, et je préfèrerai toujours, bien que ce billet soit à la fois efficace et délicat, relire Proust plutôt que lire sur Proust.

ororea

"A l'âge où les garçons s'étourdissent en bravades et en courses folles, s'acoquinent la gorge au vent avec les spadassins de Dumas ou les Peaux-Rouges de James Oliver Curwood, elles s'entêtent de parfums et rêvent de plumes. "
C'est pas pour te contredire, mais ya aussi des garçons manqués : une fille normale, ça peigne sa Barbie toute la journée, moi je passais mon temps à caresser les pecs de mes big Jim et Action Joe et à lire Capitaine courageux, Deux ans de vacances, Robinson Crusoe et les trois mousquetaires...

Ambre

Pareil que fsns! et votre billet ne fait que raviver cette envie...

Anne B

Merveilleuse traductrice de la poésie du temps, c'est un plaisir de lire Jacqueline Risset. Je partirai donc dans le temps, son "longtemps" de l'écriture à la recherche de Proust, le plus grand écrivain de mon adolescence, avec Rimbaud.
Je me suis vautrée avec délice dans le temps-long de ses phrases, mais je n'ai, curieusement, jamais lu et relu Proust dans un endroit clos. Ni pièce au coin du feu, ni chambre, ni cachette.... Toujours le dehors, jardins, parcs, campagne, mer ,océan...Un dehors pour mieux entrer en dedans (le dedans en sommeil)? Peut-être, parce que comme vous "je le lis au présent"?
Merci pour cette douceur Frédéric !

On a parfois l'impression d'acheter du miel, des fleurs, des nénuphars chez son libraire

ororea

Allez voir ça, c'est original:
"Le dernier amour de monsieur M" - lecture à voix haute
Quelques extraits du roman de Frédéric Ferney "Le dernier amour de monsieur M" édition Robert Laffont. Hébergé par Overblog.
lecture à voix haute - http://lecture-a-voix-haute.over-blog.com/

ororea

Y'avait une rencontre autour de Victor Hugo ce soir à Vincennes, avec les grèves et embouteillages, pas facile de s'y rendre (en plus je suis restée vingt minutes coincée dans l'ascenseur de mon immeuble) mais c'était plaisant, j'ai même réussi à discuter un peu sérieusement avec FF (piou, kilebô de près, en revanche les pulls noirs, j'aime pas trop, vivement la saison des chemises affriolantes) et y'avait une autre groupie sympa de Nantes...

Jonavin

Je n'ai jamais réussi à finir un livre de Proust.Manque de tact?
Tiens, je préfère aussi Hemingway. Encore aujourd'hui...

lunettes

Moi j'ai dévoré tout les livres de Proust

lunettes pas cheres

Il est vrai que Proust a un style assez spécial. Ses ouvrages ne sont généralement pas très faciles à lire. J'ai beaucoup aimé "Un amour de Swann"

pas cher lunettes de soleil

ça peigne sa Barbie toute la journée, moi je passais mon temps à caresser les pecs de mes big Jim et Action Joe et à lire Capitaine courageux..KK

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e me suis vautrée avec délice dans le temps-long de ses phrases, mais je n'ai, curieusement, jamais lu et relu Proust dans un endroit clos. Ni pièce au coin du feu, ni chambre, ni cachette

puma soldes

avec les grèves et embouteillages, pas facile de s'y rendre (en plus je suis restée vingt minutes coincée dans l'ascenseur de mon immeuble) mais c'était plaisant, j'ai même réussi à discuter un peu sérieusement avec .

air max 90 homme

Ce serait dommage de supprimer les commentaires. A chacun de savoir faire le tri, voire les occulter.

chaussures puma

les plates-bandes de pensées bordées de briques et de faïences dans le petit jardin, les assiettes peintes au mur de la salle à manger, les rumeurs des déjeuners d'étés, les cris qui s'estompent dans le fond du parc, etc.

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les rumeurs des déjeuners d'étés, les cris qui s'estompent dans le fond du parc, etc.

ALiCe__M

"ce loisir enchanté que devient avec le temps la tristesse"... peut-être, si la tristesse n'était pas déchirante au départ, car sinon, elle n'est pas soluble dans le temps, et si elle se métamorphose, ce n'est pas en conte de fées. Mais peut-être n'ai-je pas encore assez de temps au bord des mains.

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Frédéric Ferney

  • Agrégé d'anglais, il a d'abord enseigné à Rome, avant de diriger les pages culturelles du Nouvel Observateur. Par la suite, il a créé et animé une émission littéraire le dimanche sur France 5, intitulée d'abord Droits d'auteur, puis rebaptisée Le Bateau livre, à bord de la péniche L’escale. Il est actuellement critique au Point.

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