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Commentaires

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Alistrid

http://www.youtube.com/watch?v=fpuVTzeXzMY

Alistrid

http://www.youtube.com/watch?v=5njWAq4Qq3k

Christophe Borhen

Oui, ça me plaît.

Vous écrivez : " C'est le seul exemple - avec Sade peut-être - d'un écrivain absolument irrécupérable. "

Je dirais plutôt " absolument infalsifiable. "

(merci pour cette nécessaire insomnie)

miss glu

Pas étonnant que ce bouquin ait malmené la pile sous laquelle il était caché...
Jean Genet est fascinant.

Anne B

Je connais bien ces avalanches de livres qui font rager, mais pour "les retrouvailles" c'est génial!
Un petit tour donc du côté de Genet(bien rangé, bien sage, c'est étonnant), puis immersion dans les pages venimeuses de "Pompes Funèbres".
Je cherche encore "la Délicatesse".

(Sage,mais que de gribouillages!).

Yasmine

Oui. Beaucoup. Presque à contrecoeur. C’est d’une violence tranquille, presque suave… Le style, peut-être, très dépouillé, et ce ton calme. Une violence qui ne paraît même plus contenue, mais parfaitement assumée, acceptée, comme quelque chose qui va de soi, tellement naturel.

Mais ce qui m’a plu aussi, c’est votre billet tout entier. On dirait un livre dans un livre, les phrases d’un autre harmonieusement mêlées aux votres, sans à-coup, sans rien qui heurte, ça coule, intimiste, feutré. Et c’est très beau. C’est complice aussi, ce moment vécu, que vous partagez, et que vous offrez.
Merci

ororea

Je suis d'accord avec Yasmine, j'aime bien le roman dans le roman, la mise en abyme comme on dit...

gmc

AU GRES DES VOGUES

Les pompes sont toujours funèbres
Pour les marcheurs du vent
Dont les fastes funéraires
Marchent sous les élans
Qui se laissent humblement pomper
Par le bout rouge incandescence
Des lèvres de la lune
Apposant des scellés
Ouverts par mégarde
Sur des perditions en des routes

Loïs de Murphy

Peut-être qu'il a "délicatement" posé le canon de son arme chargée dans sa bouche ?

Eric Poindron

Je confirme que chez Frédéric on peut aisément marcher sur les livres - et qu'il est capable d'allumer une cigarette en pleine nuit.

Quant aux écrivains innommables - les Maurice Sachs et autres - ils sont plus nombreux que les deux précédemment cités.

Eric

P.S. Faites comme moi, buvez du vin puis rangez vos livres dans les caisses à vin. Et surtout,, ne le répétez pas.

Anne B

Eric comment faites vous, il me faudrait trop de caisses, remarquez ça empêche peut-être ces petits malins de quitter l'étreinte de leurs alcôves en pleine nuit ?

Sylvaine

Just A Song of Love...
http://www.youtube.com/watch?v=r_vL-t12S1Q

Eric Poindron

Pour tout vous avouer, cher Anne, j'ai bu beaucoup de vin, mais j'ai récupéré encore davantage de caisses. Je n'ai pas dis"prendre une caisse" ; aucune méprise.

Les cavistes connaissant mon vice impuni se font un devoir de conserver les précieux rangements.

Les caisses de vin semble avoir été conçues pour y ranger des livres - même des ivres sur le vin - enfin c'est ce que je crois.

Santé.

Eric

Anne B

Cher Eric,
J'ai tout de même oublié de vous avouez que je possède quelques caisses où sont rangés les CD,mais comme ils sont moins nombreux que les livres, leur minorité en fait des privilégiés, ils ont leurs petites maisons.Cependant l'ordre alphabétique n'empêche nullement, (comme pour les livres) les éventuelles discordes la nuit.

Anthropia

Ben j'ai honte, mais j'ai pour la première fois pensé/dégagé mes livres au lieu de les penser/classer. enfin ceux que je ne regretterais jamais et en fait il y en avait pas mal.

http://anthropia.blogg.org

ororea

"Je confirme que chez Frédéric on peut aisément marcher sur les livres - et qu'il est capable d'allumer une cigarette en pleine nuit."
Ca sent jusque dans la chambre d'ami?

mme petit poisson

Possible que Genet fasse tomber les piles de livres, quand il a un truc un dire.
Mais le coup des noeufs (à la coque) lui a cassé son coup, et l'image du ballon captif ou de la catapulte se dématérialise : voilà une belle omelette qui surgit.
A 4 h du matin, on a un petit creux aussi des fois.

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Frédéric Ferney

  • Agrégé d'anglais, il a d'abord enseigné à Rome, avant de diriger les pages culturelles du Nouvel Observateur. Par la suite, il a créé et animé une émission littéraire le dimanche sur France 5, intitulée d'abord Droits d'auteur, puis rebaptisée Le Bateau livre, à bord de la péniche L’escale. Il est actuellement critique au Point.

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